cèdre

2011 - parquet stratifié - parador

Les motifs conçus jouent sur la perception mysterieuse d’une lumière dans le sol; Leur lecture est indécise, ni système graphique, ni motif de tapis ou de marbre. Il s’agit plutot d’une texture de lumière.

Le point de départ est le souvenir de sensations de lieux: la vision floue du cèdre du Liban à travers le verre opalescent de la Fondation Cartier à Paris pour la première proposition, suggestion incertaine, branchage à contre jour, à contre ciel.

L’image est zoomée, pixellisée recadrée, puis divisée en 10 rectangles qui servent de base au tapis. Il ne reste de l’original que des suggestions. Les images s’enchainent subtilement et forment un tissage, qui peut se combiner dans des variations infinies.
Lauréat du prix AIT Award en 2011

Il s’agit de créer un jeu subtil, un questionnement par la juxtaposition de motifs incertains, qui évoquent des mémoires de couleurs, des mémoires de forme

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